Perte de Malarone : acte manqué ?

Pendant 15 jours je me suis pris le chou à ne pas oublier la petite pilule anti-palu ("Malarone Time", chaque jour à 12h30). Je me donnais bonne conscience en me disant, devant mes multiples piqûres de moustiques, que tout ça n'était pas pour rien.

Mais dans le même temps, apparaissaient maux de ventre (difficile de les attribuer à la nourriture parce que rien à dire de ce côté là), suractivité épidermique (comprendre bourgeonnement facial de type prépubère) et parfois maux de tête carabinés.

Enfin je m'auto-discipline bien comme il faut tout le long du voyage et bien sûr, une fois rentrée, voila que j'ai paumé des cachets et n'ai donc pas de quoi terminer le traitement.

Au final je me serai bien forcée à suivre les prescriptions. Mais si jamais le moustique maudit m'a eue et que l'incubation est encore en cours, ça n'aura (p.e) servi à rien. Il y a des fois je ferais mieux de m'abstenir de penser plutôt que de penser à ça/comme ça...

Avaient commenté (ancien blog) :

Nico :

Salut Marie,

juste pour te dire pour tes prochains voyages que la doxycicline ou Doxypalu est tres efficace et pas cher. je reviens de Birmanie ce matin, je continue le traitement encore un mois et rien de desagreable (l'an dernier pour le laos j'en avit déja pris)

(http://nicolasnicolason.spaces.live.com/)

Marie : D'autant que je crois savoir que la zone nord Thailande et Birmanie est la plus résistante aux traitements usuels, pire que les zones 5 en Afrique ! Alors s'il y a mieux que la Malarone pour là-bas, pas d'hésitation à avoir...